V6 's Band mais plus trop

Samedi 10 :

   Arrivée, dans la soirée,  des varois par la voie Sud et des aixois par le Nord : apéro, spaghetti aux fruits de mer  et TDC pour un début du V6 tout en douceur .

Dimanche 11 :

Départ pour Taulignan, au musée de la soie

Dans un magnifique village médiéval en Drôme Provençale dont la soie était l'industrie prospère au XIXe siècle, l'Atelier Musée nous a fait découvrir ce passé avec la vie sociale des ouvrières dans les moulinages. 

Musée vivant et interactif qui retrace l'épopée de la fabrication de la soie : du « Bombyx Mori », communément appelé « ver à soie », grignoteur invétéré de feuilles de mûrier blanc, jusqu'à la fabrication de la fascinante étoffe.

La visite commence par « l'éclosoir » ou sont enfermées les « graines » prêtes à éclore. Lesdites graines devenues chenilles ont la particularité d'être particulièrement gloutonnes et sélectives dans leur alimentation puisqu'elles ne mangent que de la feuille de mûrier. Elles vont jusqu'à multiplier leur poids par 10'000 ! Imaginez : c'est un peu comme si vous pesiez 30 tonnes ! Au terme de ce gavage débridé, les chenilles commencent à tisser leur cocon. Chacune produit jusqu'à 1'500m de fil. Vient alors le temps de la récolte - avant que le papillon ne sorte de sa chrysalide - et de la filature qui consiste à dévider les cocons. On passe alors au moulinage, soit un procédé de torsion du fil qui dépendra du type d'étoffe à obtenir avec, en bout de chaîne, les métiers à tisser. Le Musée de Taulignan présente ces étapes de manière très interactive avec des machines non seulement authentiques mais en fonctionnement ! Une initiative que l'on doit à Pierre Lançon, ancien moulinier lui-même, qui a entrepris en 1980 de conserver les témoins d'une époque révolue mais passionnante.

Pique-nique au val des Nymphes (près de la Garde Adhémar) :

A 2 km de la Garde Adhémar, le Val des Nymphes est un lieu mystique où l'on ne serait pas étonné de rencontrer un de ces petits êtres qui peuplent la forêt au détour d'un sentier ou caché derrière un grand chêne.

Après la Révolution, l'église est laissée à l'abandon et une partie de la voûte et de la nef s'effondra vers 1850.

La Garde Adhémar :

  .. un village médiéval, mais dans le vent.

.....

  Le village actuel, enserré dans des remparts en bordure du plateau calcaire dominant la plaine de Pierrelatte, a conservé sa structure médiévale.

       Cette plaine a été colonisée à l'époque romaine par les vétérans des légions romaines (Ier siècle) tandis que les Gaulois tricastins étaient rejetés sur les collines. Les prospections archéologiques ont révélé de nombreuses traces d'occupation humaine, en partie liée à une activité viticole. La grande voie romaine, la via Agrippa, passait au pied de la colline. Le site du Val des Nymphes, en raison de la présence de sources permanentes, a de longue date attiré les hommes. Un culte antique aux mères nymphes, dont témoigne le petit autel déposé à l’église, a pu s’y développer. Les recherches archéologiques et historiques ont mis en valeur l’existence d’un important habitat médiéval (Ve-XIIe siècles) et de quatre églises en ce lieu pourtant exigu. Seule demeure, aujourd’hui l’église priorale Notre-Dame édifiée par les moines de Tournus en Bourgogne (première mention connue en 1059).

       Ce n’est sans doute qu’au XIe siècle que fut implanté sur l’éperon rocheux le castrum de « La Garde » dont le nom souligne la fonction défensive sur un site propice à la surveillance de la vallée du Rhône et du vallon du Rieu. Un premier rempart (fin XIe-XIIe siècles ?) enserra les édifices vitaux - l’ensemble castral et l’église Saint-Michel - et quelques habitations. Au XIIIe siècle, les populations paysannes du Val des Nymphes attirées par le renforcement du pouvoir seigneurial de la famille des Adhémar, s’installèrent à l’intérieur du castrum de La Garde ce qui nécessita son extension et la construction d’une seconde enceinte. L’habitat et trois églises du Val des Nymphes (Saint-Martin, Saint-Pierre, Saint-Roman) disparurent tant du paysage que de la mémoire collective. Dans le castrum, les réaménagements médiévaux du bâti soulignent la fonction résidentielle plutôt que défensive : les observations archéologiques actuelles mettent en évidence des maisons-tours romanes, une aula (pièce résidentielle) seigneuriale au-dessus d’un vaste cellier, une maison aristocratique à fenêtres géminées. L’église Saint-Michel, originale par sa double abside, est un bel exemple de l’art roman provençal du XIIe siècle.

       Au XVIe siècle, Antoine Escalin, homme de guerre, ambassadeur, général en chef des galères royales, seigneur du lieu depuis 1543 fit édifier un magnifique château Renaissance démantelé après 1810.

       La vie du village fut, pendant des siècles, rythmée par les activités agricoles et artisanales. Une grande partie de la population se serrait dans l’habitat perché, tandis qu’une minorité était dispersée dans des hameaux (la Tuilière, le Colombier, …) ou dans les fermes seigneuriales ou de notables (Grand’ Grange, Magne, Montaury, Grand’ Porte, …). En 1789, les propriétés roturières occupaient 80 % du territoire tandis que les terres nobles s’étendaient sur 20 %, mais celles-ci intègrent les parcelles les plus fertiles et les plus facilement irrigables. Depuis 1788, Les Granges-Gontardes ont été séparées de la communauté villageoise de La Garde-Adhémar, un siècle après celle des deux paroisses.

       A l’image des villages provençaux et dauphinois, une confrérie de pénitents créée en 1629 accueillait tous les habitants qui souhaitaient répondre à de nombreuses exigences dévotionnelles et morales, dans une solide confraternité symbolisée par l’habit qui effaçaient les différences sociales.

       Au XIXe siècle, les fermes que l’on veut rapprocher des terres agricoles se multiplient dans la plaine et les collines. L'exode rural accélère le déclin du bourg perché où de nombreuses maisons tombèrent en ruine. En un siècle, la commune passe de 1260 habitants en 1860 à 504 en 1954. En plaine, le terroir agricole a été bouleversé par l’implantation de l’aérodrome, le creusement du canal et le passage de l’autoroute et du TGV. Depuis les années 1960, le développement des activités nucléaires en Tricastin a attiré une population nouvelle entraînant une réhabilitation de l'habitat ancien et le développement de nouveaux lotissements. La population est aujourd'hui stabilisée : 1077 habitants en 1982, 1178 en 2008.

Club UNESCO de La Garde-Adhémar

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Chapelle romane St Michel

    http://www.la-garde-adhemar.com/patrimoine-1.htm

 et la photo de groupe

Saint Restitut

  Encore un joli village de la drome provençale

    http://lieuxsacres.canalblog.com/archives/saint_restitut__26_drome_/index.html

Le Village Troglodytique de Barry 

Enfin, retour aux fondamentaux du V6 : l'abbaye cistercienne !

    Abbaye du Bouchet

Porte de l'abbatiale

L'abbaye : Fondée au XIIe siècle par le prince d’Orange, l’abbaye de Bouchet ne recevait que les filles nobles de la région. Ravagée en 1200 par l’une des bandes du vicomte de Turenne^[5], elle fut restaurée en 1202 et à nouveau occupée par les religieuses, mais un relâchement des mœurs s’étant produit, dit-on, dans le monastère celui-ci fut annexé, le 29 novembre 1413 à l’abbaye d’Aiguebelle, qui le laissa tomber en ruines. Les biens de l’abbaye de Bouchet étant passés plus tard dans le domaine de la Chambre apostolique du Venaissin, le pape Sixte IV en affecta les revenus, en 1480, au Collège du Roure d’Avignon. La vieille abbaye prit dès lors le nom de collège. L’église paroissiale contiguë à « l’ancien collège » possède une abside et des absidioles qui forment un pur joyau d’architecture cistercienne.

                 http://www.mairie-bouchet.fr/accueil/histoire_p2.html

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Lundi 13

Une belle rando jusqu'au sommet du rocher du lion 

Ce beau rocher (cote 715) que certains imaginatifs voient comme un lion couché, « façon sphinx », veille sur le Buis et sa vallée. Le Rocher du Lion est un des plus beaux belvédères de la région, offrant durant la montée une vue exceptionnelle sur la « lame » du St Julien, les oliveraies et les vergers, et au sommet un panorama sur la cuvette du Buis, la Vallée de l’Ouvèze, le Mont Ventoux, les Dentelles de Montmirail, ainsi que sur les barres rocheuses de Beauvoisin.

Un dernier festin (veau - polenta, sorbet aux poires) et fin du V6.

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Quelques portraits :

Suivront mille ans de calme

Danse

Immense succès lors des représentations au Grand Théâtre en 2010, Angelin Preljocaj reprend sa dernière création avec les danseurs de sa compagnie. Une nouvelle chance de revoir ce ballet fort et troublant !

Spectacle initialement créé en collaboration avec le Théâtre du Bolchoï dans le cadre de l’Année France-Russie 2010.

CRÉATION 2010
Pièce pour 21 danseurs

Angelin Preljocaj, chorégraphie
Laurent Garnier, musique (sauf Les Anges de Benjamin Rippert et Sonate au Clair de lune de Beethoven Mixage Scan X)
Subodh Gupta, scénographie
Igor Chapurin, costumes
Cécile Giovansili, lumières
Youri Van den Bosch, assistant, adjoint à la direction artistique
Natalia Naidich, assistante répétitrice
Dany Lévêque, choréologue

danseurs :
Virginie Caussin, Gaëlle Chappaz, Natacha Grimaud, Caroline Jaubert, Jean-Charles Jousni, Émilie Lalande, Céline Marié, Lorena O’Neill, Nagisa Shirai, Charlotte Siepiora, Patrizia Telleschi, Yurie Tsugawa, Sergi Amoros Aparicio, Aurélien Charrier, Fabrizio Clemente, Baptiste Coissieu, Sergio Diaz, Carlos Ferreira Da Silva, Fran Sanchez, Julien Thibault, Liam Warren,Nicolas Zemmour.

Suivront mille ans de calme s’inscrit dans la veine poétique et impressionniste du travail d’Angelin Preljocaj. Le chorégraphe utilise la trame de l’Apocalypse de saint Jean et mène une réflexion sur l’homme et son flottement intime face à l’universel. Preljocaj ne prophétise pas, il évoque les replis secrets de l’existence humaine dans ses angoisses et ses espérances, dévoilant ainsi l’art de la danse et sa capacité à explorer la véritable profondeur de l’âme.

Voyez comme c'est beau : cliquez sur les liens ci-dessous !

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=JSqfp7U_vhY#t=16s

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=5IEe8iXaxhM#t=4s

On ajoutera :

 "La danse souligne implacablement l'entropie des molécules, programmée dans la mémoire de nos chairs qui annonce l'Apocalypse des corps."

(L'entropie mesure le degré de désordre d'un système par rapport à son état initial probable... C'est plus clair ?)

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 Angelin Preljocaj

Angelin Preljocaj, né en 1957 à Sucy-en-Brie en France^[1], est un danseur et chorégraphe français de danse contemporaine. Son travail chorégraphique est très imprégné de l'histoire des ballets classiques, mais est, néanmoins, résolument contemporain. Entré au répertoire du Ballet de l'Opéra national de Paris au début des années 1990, Angelin Preljocaj dirige depuis 1985 la compagnie Preljocaj, renommée par la suite Ballet Preljocaj en 1996 lors de son arrivée à Aix-en-Provence, et qui est installé au Pavillon Noir d'Aix-en-Provence inauguré en 2006. Il est considéré comme l'un des chorégraphes les plus importants alliant fréquemment des recherches formelles originales et des collaborations avec de nombreux autres artistes contemporains de tout horizon sans totalement s'éloigner de la tradition du ballet classique.

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La saison GTP du V6 se termine en apothéose !!!

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Vendredi 27 janvier 2012

RDV à Aix, pour apéro, repas.

A noter : le ton est donné par Lisbet, qui d'entrée, s'adresse à Agnès : "Au lieu de te mettre à l'apéro, tu ferais mieux de prendre ta douche !".  Sympa la copine.

 Départ pour le GTP :  

                         Brahms, Orchestre de Paris

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ORCHESTRE DE PARIS  

Viktoria Mullova, violon et Paavo Järvi, direction

 
Concerts symphoniques
Johanes Brahms, 1833-1897,
Concerto pour violon en ré majeur, op. 77
Symphonie n° 2 en ré majeur, op.73

Concert événement ! L’Orchestre de Paris et son directeur musical, l’estonien Paavo Järvi, accompagnent l’immense violoniste russe, Viktoria Mullova, dans un programme entièrement consacré à Brahms : Concerto pour violon (1878) et Symphonie n° 2 (1877). Ces deux oeuvres, composées à un an d’intervalle à Wörthersee dans les Alpes autrichiennes, montrent toute l’affection du compositeur pour la campagne de Carinthie. Elles traduisent un même sentiment de plénitude. Dans l’une comme dans l’autre, rien de tragique, aucune trace de pathos romantique, mais plutôt l’écho d’un monde radieux, en équilibre.

 « En Carinthie, les mélodies volettent en si grand nombre qu’il faut faire attention à n’en écraser aucune. »
Johannes Brahms

Enthousiasme unanime des membres du V6,

Cliquez ci-dessous pour une prestation de Viktoria Mullova :

http://www.youtube.com/watch?v=z_xl0cIgkZM&feature=player_detailpage#t=9s

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Samedi 28 Janvier 2012

Tout le monde se retrouve à Neoules où Alain et Lisbet nous avaient, comme d'hab, préparé un programme d"enfer, à peine contrarié par le temps maussade :

St Tropez !

Son musée de l'Annonciade 

Les peintres de la couleur
Le musée de l'Annonciade, créé en 1922, rappelle que la ville de Saint-Tropez a été l'un des foyers les plus actifs de l'avant-garde picturale au début du XX^e siècle, grâce à Paul Signac qui découvrit en 1892, ce charmant petit port de pêcheurs à bord de son yacht l'Olympia. Séduit par le pays, Signac y acheta une maison dont il fit son atelier, La Hune, et y invita de nombreux peintres : Cross, Matisse, Derain, Marquet.

Les collections présentées, s'échelonnant entre 1890 et 1950 sont surprenantes, autant par leur qualité que par leur homogénéité. L'ensemble des artistes exposé ont fondé leur travail à partir d'une réflexion sur la couleur tout en restant fidèles à la figuration.
Cet ensemble est composé de peintures de premier ordre, appartenant essentiellement aux mouvements pointilliste, nabis et fauve.

Il peut être considéré comme le premier musée d’art moderne en France puisque, dès son origine, il offre sur ses cimaises les œuvres souvent les plus pertinentes d’artistes vivants. La cohérence et l’harmonie de ses collections, voulues par ses fondateurs et par son plus important donateur, Georges Grammont, sont un exemple exceptionnel en France et dans le monde : en un si petit espace sont réunis des chefs-d’œuvre majeurs de l’histoire de la peinture française.

De belles oeuvres :

 .... dont un Von Dongen méconnu (*) "le petit âne sur la plage" (certains pensent à un gag de Banksy)

   Etonnant, non ?

(*) Méconnu, méconnu... c'est vite dit ! A ma grande surprise, j'en ai trouvé une reproduction sur Internet.

Puis petite promenade

sur le port 

jusqu'à la citadelle :

La gardienne du Golfe, des toits de tuiles et du célèbre clocher jaune

Une première enceinte au tracé bastionné est édifiée au XVIe siècle autour de la ville, à la fois pour protéger le site d'éventuels envahisseurs, et pour assurer l'autorité du roi sur les Tropéziens.

En 1589, le maréchal de Villars supervise les travaux d'édification d'un fortin sur la "colline des Moulins" surplombant Saint-Tropez. Cet ouvrage est détruit en 1595, mais de nouveaux aménagements défensifs sont entrepris sur le même emplacement par l'ingénieur militaire Raymond de Bonnefons, dès le début du XVIIe siècle.

En 1607 est achevé le donjon actuel de la citadelle, épaisse tour hexagonale dissimulant une vaste cour intérieure, accessible par un pont-levis, et puissamment défendue par une plate-forme d'artillerie et trois tourelles circulaires de flanquement percées d'embrasures à canons.

Quelques années plus tard, une enceinte bastionnée vient ceinturer l'ouvrage circonscrit par un système de douves et de contrescarpes.

Entre Toulon et Antibes, Saint-Tropez devient une escale stratégique dans la protection des côtes françaises, et toutes ses défenses sont orientées vers la Méditerranée.
En 1637, les Tropéziens mettent ainsi en fuite une vingtaine de navires espagnols venus surprendre le port et quatre vaisseaux de la marine royale.

La citadelle ne connaît pas d'aménagements majeurs jusqu'au XIXe siècle au cours duquel les ingénieurs militaires donnent à l'édifice sa silhouette actuelle : les façades extérieures sont percées, les murs abritent désormais un magasin à poudres et l'entrée de la cour intérieure est rendue accessible aux véhicules, via un pont-levis à bascule conçu en 1830.

Pendant la Première Guerre mondiale, la place forte devient un camp d'internement pour prisonniers allemands, qui effectuent divers travaux d'utilité publique aux alentours de leur lieu de détention.

A partir de 1942, la citadelle est occupée par les troupes italiennes, puis par les Allemands.

L'ouvrage est libéré avec la ville par les troupes alliées et la 1re armée française, après le débarquement d'août 1944 sur les plages de la Méditerranée, entre Saint-Raphaël et Hyères.

Dans un environnement harmonieux de collines boisées, la citadelle est accessible par un petit sentier rythmé par des bordées d'eucalyptus et de lauriers-roses, où les rencontres avec des paons en liberté restent fréquentes.

La ville vue de la citadelle

Halte à Port Grimaud, qu'on pourrait résumer par "Comme quoi, les architectes, s'ils voulaient .."

Retour par la mer "repeinte" en rose

 Pour terminer la journée, un excellent repas "chinois", pimenté par un débat portant sur l'influence (néfaste ?) des nouvelles technologies sur les générations actuelles, et TDC .

Dimanche 29 janvier 2012

Matinée découverte : les glacières

A Mazaugues,

 le musée nous a permis de découvrir l'existence et l'importance des glacières au cours des siècles.

Super !

(A noter que l'hôtesse du musée nous a involontairement ramené au débat de la veille, en prenant sa calculette pour multiplier 2,5 par 6, puis pour diviser 15 par 3.)

Le visiteur est amené à remonter le temps, de passer à travers l'ambiance d'une usine à glace du milieu du XXe siècle, à travers les cafés, estaminets, commerces, maisons bourgeoises et parcs populaires où la glace se consomme, pour aboutir à la source du produit : les glacières et les systèmes de récolte - conservation de la glace disponible dans la nature. Les pratiques et les équipements existants sur la Sainte-Baume sont le point de départ pour des reconstitutions et des maquettes, le musée devant préparer la visite guidée de la glacière restaurée.

Fin de soirée avec un porc au cidre, tarte aux pommes et .. TDC : membres comblés !

Lundi 30 janvier

 Départ aux aurores.

Conclusion :

A nouveau une session dynamique et brillante, ce qui confirme qu'il ne faut pas prendre le V6 pour des lents ternes. 

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Encore et toujours AIX, chez Annie et Rémi, où Noel était en avance :

puis au GTP : avec STOMP

"Les artistes de Stomp utilisent et détournent les objets de la vie quotidienne, couvercles, balais, bidons, tubes, allumettes et autres pour orchestrer des chorégraphies qui s’enchaînent à un rythme endiablé et créer une musique jubilatoire."

« Irrésistible ! De l’art à l’état pur ! »  New York Times

 V6 : Fantatistique, extraordinaire, etc ... en tout : musique, chorégraphie, mise en scène, performance physique,; bref, c'est STOMPueux (nouvel adjectif remplaçant somptueux qui n'a plus lieu d'être : en effet SOMPT a certainement eu son heure de gloire, mais plus personne n'est capable de dire en quoi)

Cliquez sur les liens ci-dessous pour un petit aperçu :

http://www.youtube.com/watch?v=kOdRfKpFvqQ&feature=player_detailpage#t=22s

http://www.youtube.com/watch?v=B0p8TOQM0oE&feature=player_detailpage#t=32s

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=JUrmKptgeiE#t=188s

Dimanche

 Aixois et mollannais ont fait une petite (pour cause de blessure velocipédique de S.) rando au dessus de l'acqueduc de Roquefavour (Ventabren) : très chouette !

 Nous aurons le plaisir de la refaire, en longeant le canal, avec tous les membres du V6 lors d'une prochaine session.

Nous avons, comme le veut la coutume, bien mangé (entre autres : pot au feu royal, terrine de foie de volailles et charlotte aux noisettes)

Recette :

                Charlotte aux noisettes

100 g de noisettes

125 g sucre poudre

 75  g sucre poudre glace

150 g beurre

6 jaunes d’ œuf

½ litre de lait

vanille

biscuits à la cuillère

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Faire une sauce anglaise :6 jaunes ,sucre poudre, vanille, lait. Mixer les noisettes et les faire griller.  Travailler le beurre avec le sucre glace puis les noisettes et incorporer la sauce anglaise comme pour une mayonnaise.
Tapisser le fond et les bords d’un moule de biscuits imbibés de sauce anglaise.
En conserver un peu pour mettre sur la charlotte au moment de servir.

Mettre au réfrigérateur la veille.

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Petite session pour le V6 qui se retrouve de nouveau à Aix, toujours chez A & R, pour un bon repas, avant de filer au GTP pour un spectacle de danse : 

 

Josette Baïz, fondatrice et chorégraphe du Groupe et de la Compagnie Grenade, fête ses 20 ans en invitant 7 chorégraphes de renom pour une fête, une célébration que nous offrirons ses 60 danseurs sur la scène du prestigieux Grand Théâtre de Provence.

Un anniversaire en fanfare pour un des piliers de la danse contemporaine sur Aix/Marseille qui œuvre depuis 20 ans à pérenniser le travail de métissage entrepris avec le Groupe Grenade, tout en restant dans une optique profondément contemporaine.

Aujourd’hui, Grenade est un ensemble chorégraphique composé d’une soixantaine de danseurs répartis entre le Groupe Grenade et la Compagnie Grenade. Le Groupe Grenade se compose d’une cinquantaine d’enfants et adolescents de 7 à 18 ans, la Compagnie Grenade quant à elle est composée d’une douzaine de professionnels adultes.

Le spectacle « Grenade, les 20 ans » est donc présenté sous la forme de deux programmes distincts d’1h20 avec une partie commune d’1h environ.

Chorégraphes invités : Jean-Claude Gallotta, Angelin Preljocaj, Jean-Christophe Maillot, Michel Kelemenis, Philippe Decouflé, Abou Lagraa, Jérôme Bel.

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Tous les 6 avons ressenti ce spectacle de la même façon : certains tableaux sont magnifiques et nous ont emballés, d'autres, notamment les passages sans musique, nous ont, pour le moins,"irrités".

Un coup d'oeil ?

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=LEoSClv2Bs0#t=56s

   Ce V6, à l'initiative de la section d'Aix, a été marqué par une franche rigolade ... ce qui n'est pas incompatible avec la partie culturelle !

D'abord, spectacle (le 9) au GTP : Patricia Barber

Auteur-compositeur, chanteuse et pianiste, l’Américaine de Chicago, Patricia Barber, a conquis les
amateurs de jazz depuis son premier album en 1989. Avec pour références le pianiste Bill Evans et la chanteuse Shirley Horn, cette fille de saxophoniste préserve un certain classicisme tout en ménageant les ruptures et les surprises. Interprète accomplie des grands standards du jazz, elle enchante également grâce sa superbe voix.

Nous avons tous été impressionnés par sa voix, même, si pour certains, son spectacle a semblé, par moments, manquer de rythme.

Cliquez sur le lien ci-dessous pour un aperçu :

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=ci27xPmQ4-w#t=2s

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Le lendemain, les 6 membres  se sont déplacés jusqu'à Manosque :

   - Visite de l'Occitane, un des fleurons de la réussite industrielle française :

 puis agréable promenade sur un beau sein rond .... le Mont d'Or

  petite colline plantée de magnifques oliviers

qui domine la ville

  - pique-nique

Petit jeu : devinez laquelle de ces 3 grâces a été qualifié de "gros thon" par un des 3 mâles du V6 ?

   - avant d'attaquer le coeur de la cité :

           place Saint Sauveur, du nom de l'église

et le reste ...

 - son étonnante fondation Carzou

- son expo Jean Giono,

- l'expo temporaire de Lucien Mermet-Bouvier

 " Lucien Mermet-Bouvier crée depuis 1969 mais ce n’est qu’en 2000 qu’il trouve véritablement sa voie. Après avoir touché de multiples domaines il décide de se tourner définitivement vers la photographie pour traquer à l’essence même de la vie, à savoir l’humour, le comique, le burlesque."

CONCLUSION

 Superbe session qui, à cette occasion, a retrouvé la préface que Giono a préparée pour le prochain livre du V6 : 

"Les jours sont des fruits, et notre rôle est de les manger, de les goûter doucement ou voracement, selon notre nature propre, de profiter de tout ce qu'ils contiennent, d'en faire notre chair spirituelle et notre âme, de vivre. Vivre n'a d'autre sens que ça." .

C'est pas pour le V6, ça ?

C'est la rentrée : les varois nous ont concocté une rando d'enfer 

  

la côte sous un soleil radieux ! 

La troupe est prête :  

et s'élance      

    avec entrain?  

Nous longeons la côte : c'est magnifique !

 

Nous traversons des criques merveilleuses,

 

les plages sont superbes,

 

 avec des cétacés lézardant, (Alain se proposait de les rejeter à la mer)

 

 nous craquons pour un bain apéritif : admirez ce couple (le contre-jour est obligatoire, sinon ce serait trop)

 

 avant le pique-nique



 arrivée au pied du fort de Brégançon.

  

pour une dernière plage, et pour certains, un dernier bain.

CONCLUSION

  Le pied !



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KOBENHAVN (Copenhague)

Copenhague voit le jour en 1167, en même temps que la construction du Château de la ville, par l’ecclésiastique Absalon. Gouvernée par l’Eglise jusqu’en 1400, Copenhague devient la capitale du Danemark au 15ème siècle et est placée sous l’autorité du roi Christian IV.Petite ville, elle devient la plus importante du pays et voit les différents corps d’armées s’y installer.

Copenhague connait une hausse démographique, jusqu’au 17ème siècle, date à laquelle épidémies et maladies déciment la population.
Il faut attendre deux siècles, pour que la ville se reconstruise et se repeuple, mais l’invasion de Copenhague par les troupes Anglaises lors du conflit entre la France et l’Angleterre, occasionne de sérieux dommages. Copenhague se remet très vite à flot et se développe par la même occasion. On érige des monuments et des bâtiments. Les immigrés arrivent de toute part pour travailler, si bien que l’économie de la ville prospère. Un boom immobilier entraine la construction de plusieurs logements.

Les Deux Guerres mondiales entrainent le déclin de Copenhague, qui tente par tous les moyens de faire face à l’occupation allemande entre 1940 et 1945. Libéré après la capitulation de l’Allemagne, Le Danemark retrouve par la suite, un semblant « d’identité » et permet alors à sa capitale de devenir une ville moderne

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Alain & Lisbet ont eu l'exellente et généreuse idée de nous convier à fêter leur 40ème anniversaire de mariage à Copenhague, "chez Lisbet". Pour cette (grande) occasion, le V6 a été élargi à 10 avec le renfort de Pat & Jac, Mimi et Jean-Claude.

Alain et Lisbet ont d'abord passé une semaine avec leurs enfants au bord la mer dans le Jutland, où Stellio & Agnès les ont rejoints le vendredi.

  

Les pièces rapportées ont fait voiture commune avec une étape à Bremmen (belle ville)

  

 Annie et Rémi ont préféré l'avion, et nous nous sommes tous retrouvés dans la capitale danoise le samedi : les 6 du V6 dans un superbe appartement du centre ville :

  

les autres à l'hotel; mais, jusqu'au jeudi (départ des guest stars pour  la Suède chez le frère de Jean-Claude) tous les repas, obligatoirement et magnifiquement danois, se feront à 10 à l'appart.



Ambiance festive et bonheur pendant une semaine !

le samedi :

 1ère promenade en ville sous le soleil :

   

  

l'opéra

 

le palais de la reine avec son garde aussi antipathique que grand (*)

  

(*) sachant que Rémi mesure 1,81, par quel coefficient faut-il multiplier la taille de Stellio pour obtenir celle du garde ?

Jacq and Majestic Man

  

Puis le mariage de Lisbet et Alain

 devant les autorités

 

 les anneaux

 

 la chanson

   

Vivent les mariés ... émus et ... rigolards !!!!

  

Le dimanche :

 sous la pluie, visite du musée d'art contemporain le "Louisiana" à Humlebaek (20 kms au nord),

Louisiana doit son nom au premier propriétaire de la vieille maison, qui désirait honorer la mémoire de ses trois femmes, toutes prénommées Louise. Ornée de balcons de bois ajourés, la maison date du xix^e siècle et sert aujourd'hui encore d'entrée. Elle abrite également l'administration ainsi qu'une salle où les enfants ont la possibilité de s'installer pour peindre ou dessiner. L'actuel musée, inauguré en 1958, est constitué par un ensemble de corridors et de galeries qui permettent une présentation des œuvres extrêmement mobile ; il peut être agrandi aisément (il l'a déjà été à deux reprises en 1966 et en 1971). Œuvres des architectes Jorgen Bo, Vilhelm Wohlert et Claus Wolhert, les galeries sont en bois, en briques peintes en blanc et en grands panneaux de verre. Elles se développent sur un seul niveau à partir de la maison initiale et sont situées entre une végétation luxuriante et le détroit du Sund. Institution privée, le musée doit son existence à la passion d'un riche amateur, Knud W. Jensen (1916-2000), qui a mis sa fortune au service de l'art contemporain. Il se double d'une fondation qui est chargée d'augmenter les collections et de faire fonctionner l'ensemble des activités de Louisiana. Le musée comme la fondation sont administrés par un directoire dont le président était jusqu'à sa mort Knud W. Jensen. Le musée reçoit une subvention de l'État depuis 1968. Louisiana a reçu près de trois millions de visiteurs depuis sa création.

     

au Danemark, les abris-bus sont sécurisés par un balaise à la mine patibulaire

 

entrée sous la pluie

    

  magnifique parc avec statues et structures diverses (dont  Hockney)

   

    

 

      

  

en bord de mer

    

  

              

 Les oeuvres exposées

  Le V6 est sous le charme,

ou perplexe

 Une salle pour les enfants

 Un bon repas sur place

 une participation active aux oeuvres d'art 

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 puis sur les traces d'Hamlet au chateau d'Helsingør

Helsingør est un port de pêche et de commerce situé à 50 kilomètres au nord de Copenhague. C’est le lieu le plus proche de la Suède (20 mn en bateau). Le centre ville possède beaucoup de maisons du XVIIe et du XVIIIe siècle. C’est dans le château de Kronborg que Shakespeare situe l’action d’Hamlet...

 

  

   

  

 Le lundi : découverte de la ville

    en bateau :

             attente

   

 départ

   

pour atteindre l'opéra

   

nous remontons sur le bateau pour aller vers le Kastellet :

Le Kastellet est la citadelle de Copenhague, bâtie par Frederik III dans les
années 1660. Tout près, au bord de l’eau, se trouve le monument emblématique de
la cité, la statue de la Petite Sirène. Inspirée par le conte de fée de Hans
Christian Andersen, la statue représente une sirène qui est tombée amoureuse
d’un prince mais doit patienter trois cent ans avant de devenir humaine.

Fontaine des taureaux

                

enfin la voilà ! (on n'était pas seuls) ....

  

surprise : congrès des pères Noel

 

 retour vers le bateau

   

 

le bateau : un bon moyen de voir la ville

     

 

   

 pour arriver à la nouvelle bibliothèque 

Inaugurée en 1999, l'extension moderne de la bibliothèque royale, surnommée le Diamant Noir est l'œuvre des architectes Morten Schmidt, Bjarne Hammer et John F. Lassen. Ce mastodonte noir en verre et granit poli du Zimbabwe s'avance légèrement sur l'eau.

   

   

  

  

 accès aux "vieilles" salles

  

   

retour en ville, mais pedibus cette fois-ci

  

  

 

   

 jusqu'au parlement (*)

Le Danemark est un royaume et son régime gouvernemental est la démocratie parlementaire. Son mode de production se réclame du capitalisme (libéral sur le plan économique), les entreprises et la production relevant de capitaux privés. Cependant, l'Etat et d'autres instances publiques exercent un rôle régulateur considérable et fournissent aux citoyens danois un large éventail de services.



   

     

(*) 23 ministres ,dont 9 femmes, dont le 1er ministre : Mme Helle Thorning-Schmidt.



Puis montée à la tour ronde "Rundetaarn"

La Tour Ronde fut construite sur l'initiative du Roi CHRISTIAN IV (1588-1648) et est l'oeuvre de l'architechte Hans STEENWINKEL le Jeune. La Première pierre de la tour fut posée le 7 juillet 1637. Cette tour était la première section du complèxe de construction TRINITATIS, qui devait rassembler les trois institutions les plus importantes pour les savants du 17ème siècle: un observatoire, une église pour les étudiants et une bibliothèque universitaire.

   

  

pour admirer la ville d'en haut 

Certains ont été tentés de rentrer en vélo taxi ...

  mais finalement, on a tous terminé à pied.

--- Une journée bien remplie !

Le mardi :

 Direction Roskilde : dans cette petite ville, la cathédrale abrite les tombeaux des monarques danois, dont l'arrière, arrière,... grand-mère d'Annie : Margrete 1  (reine entre 1376 et 1412)

Roskilde fut la capitale du Danemark du X^e siècle au XV^e siècle. 

Le 26 février 1658, fut signé à Roskilde le traité de Roskilde, plus connu sous son nom nordique de Paix de Roskilde, par lequel le roi de Danemark-Norvège Frédéric III fut contraint de céder plusieurs de ses provinces au roi de Suède Charles X Gustave.

La cathédrale de Roskilde est l'une des attractions majeures de la ville de Roskilde. Le fait que cette cathédrale ait été la seule de Seeland jusqu'au XX^e siècle, et que la plupart des rois et reines du Danemark y furent inhumés témoigne de l'importance ancienne de la ville

    

    

A l'intérieur les rois nous attendent (calmement) dans le luxe :

 

   

   

   

    

 

 les tombeaux

 avec en vedette, la grand-mère d'Annie (dans le tombeau)

 

fin de la visite

    

 avant d'aller pique-nique dans un parc superbe

    

Attention : la photo suivante risque de vous éblouir ! Lunettes noires conseillées !

          

 Et c'est parti pour visiter le musée des bateaux Vikings

 Le musée des navires vikings de Roskilde est un musée qui présente les bateaux vikings et leurs techniques de construction depuis la préhistoire jusqu'au Moyen Âge. Il fait notamment suite à la découverte, en 1962, de 5 navires vikings délibérément coulés autour de 1070 dans le fjord de Roskilde. Il s'agit de différents types de navires, du transport de marchandises au navire de guerre. Le musée fut construit en 1969 et spécialement conçu pour présenter ces découvertes.

   un site très chouette

 

  

  un drackar reconstruit

   

 

  un drackar en construction

   

  un musée avec les drackars qui ont ete coulés en l'an 1070 pour bloquer l'accès du canal aux ennemis, en l'occurence, les norvégiens

   

 Une petite pause avant le retour

    

    

  

 ambiance très cool

    

  La journée n'est pas terminée : parc d'attraction de Tivoli.

  En pleine ville : étonnant !

 « Lorsque le peuple s’amuse, il ne pense pas à la politique » c’est ce que Georg Carstensen, le fondateur des jardins de Tivoli, a déclaré au roi Christian VIII pour qu’il donne sa bénédiction au projet. En effet, les jardins de Tivoli eurent un succès phénoménal à l’époque car le peuple, cloisonné dans la quasi forteresse que Copenhague représentait à l’époque, était assoiffé de divertissement. Le succès de Tivoli ne ternit jamais. Ce parc d’attractions accueille toujours autant les foules que quand il ouvrit ses portes le 15 aout 1843.

Les jardins de Tivoli mélangent le zen avec l’action. Ainsi, on peut filer à grande vitesse sur une montagne russe ou bien flâner agréablement sur de petits bateaux. Ce jardin de contes de fées est un endroit de rencontres favori pour les Copenhagois. On peut y voir des familles avec enfants, des businessmen en train de déjeuner et des couples retraités faisant de la marche. Tivoli change incroyablement d’apparence à l’approche d’Halloween et de Noel. Les jardins sont alors littéralement inondés de têtes de citrouilles ou de décorations de Noel



                                  

   

é-ba-hi, qu'il est le V6 !

   

Le mercredi :

Chateau de Rosenberg

Ce château du XVIIe siècle, avec ses douves et son jardin, a été construit dans
le style Renaissance hollandais par Christian IV comme résidence d’été. Déserté
un siècle plus tard, il s’est transformé en une place où étaient conservés les
biens de la Couronne.

   

 promenade dans le parc

   

 avec des enfants blonds

 

L'après-midi, petite virée en bus

  

Le soir dernier repas

(remarquez la tête de Pat : quelqu'un aurait-il tenté de piquer sa bière ?)

 ... et dernier petit tour dans Nyhavn pour les 10

Le pitoresque canal de Nyhavn a été creusé au XIIe siècle pour permettre aux
marchands d’emmener directement leurs marchandises au cour de la ville.
Nyahvn fut longtemps un repère pour les marins et les écrivains (Andersen par
exemple). Aujourd’hui c’est un lieu qui s’est embourgeoisé mais conserve
tout son charme.  

   

   

 

 Le jeudi : Départ des "extra V6"

Le Vendredi : Départ, sous des trombes d'eau, de Stellio & Agnès pour un mariage : le coeur n'y est pas !

Le samedi : Alain & Lisbet raccompagnent Annie et Rémi à l'aéroport, avant de tailler la route.

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Rubrique : "qu'ils sont beaux les membres du V6 même s'ils sont 10 !"

En portrait

  

     

en vadrouille

   

 

   

    

 

 en méditation

  

  



   

en couple (faux, vrai et improbables)

     

  

   

Même de dos qu'on est beaux !

   



Petite conclusion pour un grand moment.

Beaucoup de bonheur partagé par tous : nous, "les invités" qui avons pu découvrir cette belle ville dans les conditions idéales avec Lisbet, dans l'harmonie d'un groupe chaleureux et joyeux (je sais, c'est un peu pompeux, mais c'était tellement bien); et Lisbet, aussi, nous remerciant de l'avoir "réconcilié" avec son pays qu'elle avait commencé à oublier. (séquence émotion).

Merci Lisbet.

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Le royaume de Danemark comprend les îles Féroé et le Groenland.

Le Danemark se compose de la péninsule du Jutland (Jylland) et d’env. 407 îles, dont env. 79 sont habitées (2009), les plus vastes et les plus peuplées étant l'île de Seeland (Sjælland) où se trouve la capitale, Copenhague (København), la Fionie (Fyn) et l'île qui forme le nord du Jutland (Den Nørrejyske Ø), au nord du Limfjord.

La côte ouest du Danemark est baignée par la mer du Nord tandis que les îles séparent la mer Baltique (Østersøen) du détroit du Kattegat. Les îles danoises se trouvent donc à la fois sur la voie maritime qui relie la Baltique aux mers et aux grands océans du globe et sur la route commerciale qui relie les pays nordiques à l'Europe centrale.

Tout au long de l'histoire du Danemark, sa situation géographique a régi le développement de son commerce, de sa politique et de sa stratégie militaire. Administrativement, le Danemark est divisé en 5 régions et en 98 communes.

Le Danemark, qui fut réuni en un seul royaume dès le Xe s., est resté depuis un pays indépendant, ce qui en fait l'un des plus anciens Etats de l'Europe.

Pour plus de détails consulter : www.denmark.dk

LUNDI

   "De chapelle en carrière, et de carrière en chapelle ..."

En partant du hameau des Valettes près de Beaumont du Ventoux,  depuis la chapelle de St Sépulcre (XIIème)

... qui, en fait, était une sainte, puisque nous l'avons retrouvée

Nous sommes partis depuis 100 m : une première pause s'impose

Le V6 repart vers les carrrières, desquelles furent extraites les pierres pour la construction de Vaison (*) - donc à l'époque des romains,  mais les carrières furent ré-utilisées en 1992, suite aux inondations- .

 traces des roues de char : 

Au bout d'un kilomètre, la fatigue commence à se faire sentir, une deuxième pause est la bienvenue

De nouveau 1 km de marche et arrivée à la chapelle Sainte Marguerite (dans le village du même nom)

     au milieu des zerf Biiiiip (censuré !!)

Là, c'est l'épuisement total !

une dernière pause

et c'est le retour à la voiture au milieu des cerisiers à culotte bouffante

 Un petit coup d'oeil (mais en voiture, heureusement) aux tours de saffre (*) :

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MARDI

Le V6 fait dans la dentelle ...

Ses membres(vigoureux) commencent par en prendre plein les yeux : petit déjeuner studyeux et copyeux, sous un soleil radyeux devant un paysage merveillyeux.(Yeueueueu, yeu ne suis pas fier de moi !)

Départ du col de Cayron, en longeant les vignes et les genêts

en tournant autour du massif des Dentelles de Montmirail (*)

 Pique-nique à l'ombre, mais avec rosé frais .... avant la photo souvenir !

Parcours, parfois caillouteux en plein solieil, parfois sous les feuillages

panorama sur le ventoux et la plaine de Carpentras,

Belvédère au dessus de Gigondas (*) permettant d'admirer la plaine de Vaison jusqu'aux Cévennes

Rémi et Annie ont les doigts de pieds en éventail : Rémi tient (et il la tient bien) sa caisse de Gigondas !       

Bref, des membres heureux !

    

- Encore un V6 de haute volée. Dommage que je ne puisse insérer ici quelques bribes de nos conversations débats. Signalons un point important : le V6 a toujours été à vocation culturelle, ludique, gastronomique, sportive, humoristique (j'en passe et des meilleures); sur proposition d'Alain et Lisbet,  il doit également devenir utile ! Premier dossier : les gaz de schiste !

Par ailleurs, la bombe DSK a largement été évoquée, et une petite chanson enfantine a été créée : (sur l'air de"un petit escargot") :

Dominique Strauss Khan,

Dans son Sofitel,

Sort de sa couche.

Il se prend une douche,

S'astique la kékette,

Se fait la soubrette.

Remballe ses balloches,

Se fait les valoches,

Se lave les quenottes,

Va payer sa note,

File à Kennedy,

L'devoir accompli.

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 Un petit regret? Ne plus avoir le temps de s'attaquer au TDC !

 Peut-être lors de la prochaine session, prévue en septembre chez Lisbet et Alain.

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(*) Quelques précisions :

   VAISON :  avant la conquête romaine, Vaison était la capitale des Voconces, peuple qui occupait un vaste territoire s'étendant de la vallée du Rhône aux pré-alpes. Leur importance menaçant la colonie grecque de Marseille, celle-ci demanda le renfort des romains en 125 avant J-C. Ces derniers ne tardèrent pas à conquérir l'ensemble de la région : Vaison devint, à partir du règne d'Auguste en 27 avant J-C, le chef lieu d'une "cité", et reçut de Rome un statut privilégié lui garantissant une certaine autonomie.

   DENTELLES DE MONTMIRAIL :   massif au relief tourmenté d'environ 12 kms de long pour 9 kms de large. Point culminant : mont  St Amand (732 m).

  GIGONDAS : son nom viendrait de "jocunditas", qui signifie joie et allégresse. Un rapport avec ses vins ?

  SAFFRE : nom, en Provence, d'une argile limoneuse durcie et agglutinée, qu'on retrouve en amas isolés dans tous les terrains occupés à diverses époques par le cours de la Durance.

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 La recette d'AGNES : la mousse de chocolat blanc.

Pour 4 personnes : 80g de chocolat blanc, 15 cl de crème liquide . Monter la crème en chantilly (avec un glaçon dans le saladier pour bien refroidir ) . Faire fondre le chocolat blanc sur le feu ou au micro-ondes . Laisser refroidir avant d'ajouter la chantilly .

    De retour chez les Lecha, le V6 repart vers de nouvelles aventures culturelles :    

: Les carrières de BIBEMUS !

dans les pas de Cézanne ...

Les 3 grâces sont de retour à Meyreuil : elles posent dans les glycines (ne pas chercher de contrepétrie)

Le lendemain,

  :les îles du Frioul : d'abord le chateau d'If, connu grace à Dumas, mais dont l'histoire rélle est passionnante

 Après une visite guidée instructive, un petit coup de bateau nous a conduit sur l'île principale : magnifique à tous points de vue, par :

 - sa faune

 sa flore

 ses paysages

ses forts 

  ses richesses géologiques avec de superbes diaclases

et ses prestigieux touristes !

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Et bien entendu, les recettes de la session (merci Annie)

  Ah, ce V6 !

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